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La réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron pourrait s’appliquer à partir de 2025, mais d’autres options sont sur la table et rien n’est tranché sur la durée de la période de transition, réaffirme Matignon jeudi.
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Face à une contestation grandissante, avec une menace de "grève interprofessionnelle" le 5 décembre, le gouvernement tente à nouveau de déminer le débat sur la réforme des retraites. Edouard Philippe doit échanger sur le sujet avec des parents d’élèves jeudi soir à Lons-le-Saulnier.
"La concertation est ouverte et le projet de loi n’est pasécrit", rappelle l’entourage du Premier ministre, alors que syndicats et patronat sont actuellement consultés sur l’épineux sujet de la transition entre le système actuel et le futur "régime universel" promis par le chef de l’Etat.
Dans un document de travail remis aux partenaires sociaux, le haut-commissaire Jean-Paul Delevoye rappelle ainsi sa proposition d’une "entrée en vigueur en 2025", qui reviendrait à "appliquer la réforme, au plus tôt, à la génération née en 1963".
Mais "d’autres options sont soumises à la concertation", ajoute-t-il, évoquant une mise en oeuvre "à partir de générations postérieures", voire seulement pour les "nouveaux entrants sur le marché du travail".
Des pistes déjà mentionnées, presque mot pour mot, dans le rapport remis mi-juillet par M. Delevoye à M. Philippe.
Le Premier ministre avait lui-même insisté sur ce point mi-septembre : "Peut-être le nouveau système ne devra-t-il s’appliquer, pour certains régimes, qu’à des personnes plus jeunes, plus éloignées de la retraite. Là-dessus, je n’ai aucun tabou", avait-il déclaré devant le Conseil économique, social et environnemental .
En revanche, "le gouvernement ne transigera pas sur les grands objectifs de la réforme", à savoir "un système universel remplaçant les 42 régimes actuels, où les règles seront les mêmes pour tous", souligne encore Matignon.
"Tout le reste est négociable", a insistéjeudi le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre sur Radio Classique, défendant "une méthode qui permettra de réussir" cette réforme.
Le président des Républicains, Christian Jacob, a au contraire estimé sur RTL que l’exécutif "met la poussière sous le tapis" et "annonce la réforme pour le quinquennat d’après".
Pour l’heure, il est prévu que la concertation, ainsi qu’une "consultation citoyenne" lancée en parallèle, se poursuivent jusqu’à la fin de l’année, en vue d’un vote du futur projet de loi en première lecture à l’Assemblée au plus tard fin juillet 2020.


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