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La commission spéciale sur les retraites continue à piétiner mardi à l’Assemblée, avec majorité et insoumis qui se reprochent mutuellement d’abîmer le Parlement et une première suspension de séance à la suite d’une intervention de François Ruffin (LFI).
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En deux heures, les députés ont examiné moins d’une cinquantaine d’amendements, sur un total de 22.000, dont plus de 19.000 des insoumis.
"Vous déposez des amendements de provocation. On a des amendements que je considère ridicules, ça ne fait que ralentir le débat, c’est excessivement pénible. Si c’est ça un débat parlementaire serein, je trouve ça lamentable", s’est agacé le MoDem Jean-Paul Mattei au sujet de LFI. Cela "abîme le rôle du Parlement et empêche les autres oppositions de s’exprimer", a complété le co-rapporteur Nicolas Turquois .
"C’est vous qui abîmez le rôle du Parlement, le gouvernement a transmis une étude d’impact truquée, nous discutons d’un texte à trous (...) Ne nous donnez pas de leçons", a rétorqué Adrien Quatennens.
"Ce qui abîme le plus le Parlement, c’est quand il y a des votes de godillots", a ensuite lancé son collègue François Ruffin, en évoquant la polémique du moment sur le vote des "marcheurs" contre l’allongement du congé en cas de décès d’un enfant.
"S’il vous plaît monsieur, vous revenez au texte", lui a demandé la présidente de la commission Brigitte Bourguignon (LREM).
"Non, non, je n’aipas terminé", a poursuivi M. Ruffin en élevant la voix, avant une suspension de séance de cinq minutes ordonnée par Mme Bourguignon.
En ouverture des débats, plusieurs élus des oppositions de gauche comme de droite ont demandé à la présidente si la commission parviendrait à terminer ses travaux dans les temps, avant l’arrivée de la réforme dans l’hémicycle le 17 février.
Dans le cas contraire, les textes seraient examinés en séance dans les versions déposées par le gouvernement initialement, sans les apports de la commission.
"J’espère que nouspourrons aller jusqu’au bout du texte, ça dépendra beaucoup de l’attitude de chacun dans ce débat, il y va de notre crédibilité extérieure", a répondu Mme Bourguignon, en confirmant que la commission s’apprêtait à siéger ce week-end.
Plusieurs élus ont déjà reconnu qu’il était "très probable" que la commission ne puisse achever l’examen de cette réforme avant le 17 février.


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