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Le déclin de notre système de retraite par répartition va perdurer. La France est contre une introduction d’une part de capitalisation dans son système de retraite, pourtant jugée comme étant la seule issue possible. La France tient à ses paradoxes...
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Retraites : la France réticente à la capitalisation
La France est réticente à introduire une part de capitalisation dans son systàƒÂ¨me de financement des [a[retraites]a], contrairement à plusieurs pays européens, dont l’Allemagne, pour freiner la baisse des pensions, a souligné lundi un expert allemand.
"Depuis le début des années 2000, la proportion du financement des retraites par des contrats de capitalisation en Allemagne s’est élevée progressivement à 15% et, à l’horizon 2040, elle va doubler", a expliqué à l’AFP Bert RàƒÂ¶rup, ancien président du Conseil des Sages, un organisme qui a inspiré les réformes introduites par le ministre allemand du Travail Walter Riester sous le gouvernement social-démocrate de Gerhard SchràƒÂ¶der.
"Beaucoup de pays ont choisi un +mix+ car il n’y a pas de systàƒÂ¨mes de retraites sans risques : la répartition est confrontée au vieillissement et la capitalisation aux aléas des marchés", a-t-il souligné, en marge d’un colloque au ministàƒÂ¨re des Affaires sociales sur la protection sociale en France et en Allemagne.
Retraite : Accepter une baisse de 50% de ses revenus
Le taux de remplacement de la [a[retraite]a] de base dans le privé (proportion du salaire touchée à la retraite) est en baisse réguliàƒÂ¨re depuis une dizaine d’années.En Allemagne, il se situe autour de 46% actuellement (taux brut) et devrait baisser à 43% d’ici à 2030. En France, il s’élàƒÂ¨ve à un peu plus de 50%.
Pour compenser cette baisse des pensions de retraite par répartition, liée au vieillissement de la population (plus sensible en Allemagne qu’en France), Berlin incite fiscalement les entreprises et les particuliers à opter pour des assurances complémentaires par capitalisation.
"La France fait exception et est réticente à passer à un financement mixte", a observé M. RàƒÂ¶rup.
Trop peu d’épargne collective par capitalisation
En France, l’épargne salariale en vue de la retraite et reposant sur des placements boursiers est peu développée. Le [a[PERCO]a] (Plan Epargne Retraite Collectif) permet de capitaliser une épargne sur des supports boursiers. Mais ce type de produit n’est pas accessible dans toutes les entreprises. Cette épargne retraite est aussi appelée "retraite supplémentaire", étant donné que les régimes complémentaires (Agirc-Arrco) fonctionnent également par répartition.


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