
Crédit Mutuel : la suppression du questionnaire de santé sera financé par le dividende sociétal
Après celui des particuliers, le Crédit Mutuel a annoncé la suppression du questionnaire de santé pour les indépendants, entreprises, etc. Le (...)
La locataire d’un garage pour deux roues transformé en studio par son propriétaire, adjoint au patrimoine de la ville de Marseille, a demandé réparation jeudi auprès du tribunal d’instance pour l’insalubrité de son logement couvert de moisissures.
Publié le par à 0 h 0
La femme de 23 ans, qui avait refusé au bout de quelques mois de payer son loyer de520 euros à cause de la dégradation des murs de son studio, avait dans un premier temps été assignée elle-même par son propriétaire. Mais ce dernier s’est finalement désisté après la révélation de l’affaire, survenue dans un contexte local marqué par les polémiques qui ont suivi l’effondrement de deux immeubles rue d’Aubagne.
"Traînée dans la boue", selon son avocate, Me Julie Savi, la jeune locataire s’est retournée contre le couple Malrait, dont l’époux est adjoint au patrimoine et architecte, et lui a demandé jeudi 4.000 euros de dommages et intérêts, arguant que ses affaires avaient été entièrement détruites par l’humidité. L’avocate a également demandé que le dossier soit transmis pour un jugement sur le fond au regard, selon elle, des "nombreuses irrégularités" du bail.
Quelques mois après son entrée dans les lieux en mai2018, la jeune femme avait été rapidement confrontée à la dégradation de son logement, qui avait vocation à l’origine à être un parking pour motos. Accolé à la vaste propriété de l’élu de 87 ans dans le 8e arrondissement, le "tout petit local" ressemblant à un couloir large d’environ 2mètres à 2,50 m, selon les constats des huissiers, avait été transformé en habitation par un changement de destination signé par le maire Jean-Claude Gaudin, a relevé à l’audience Me Savi.


Après celui des particuliers, le Crédit Mutuel a annoncé la suppression du questionnaire de santé pour les indépendants, entreprises, etc. Le (...)

À propos de l’évolution de la réglementation sur les découverts bancaires, les fausses informations circulent rapidement : non, le crédit (...)

Les amendes se succèdent pour les banques : les banques à réseaux trainent des pieds pour répondre aux demandes de délégation d’assurances (...)

La fintech française Kard, dédiée aux jeunes, cesse son activité. Les clients ont jusqu’au 11 novembre 2025 afin de récupérer leurs fonds.

LCL dévoile sa nouvelle signature de marque Pour aller de l’avant.

SG-FORGE, la filiale de la Société Générale spécialisée dans les cryptos, a déployé ses stablecoins régulés en dollars et en euros dans (...)