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Les entrepreneurs du bâtiment ne croient plus du tout à la loi travail après les débats catastrophiques qu’elle a suscités, a déclaré le président de la Fédération française du bâtiment à la veille d’une nouvelle journée de mobilisation contre le texte.
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"La loi travail, je n’y crois plus du tout" a affirmé Jacques Chanut lors d’une conférence de presse consacrée au bilan 2015 du secteur, mercredi.
Les "débats catastrophiques" déclenchés par ce projet de loi controversé modifiant le droit du travail ont fait "reculer l’idée de la souplesse indispensable dans le Code du travail, pour recréer de l’emploi en France", a-t-il jugé.
La FFB n’espère plus voir aboutir les mesures sur lesquelles elle tablait pour "sauvegarder le modèle économique et social des entreprises du bâtiment", selon les mots de son président.
Ce débat, "arrivé à un très mauvais moment" a estimé M. Chanut, "il faudra le rouvrir au moment de l’élection présidentielle" de 2017, "avec de vrais chefs d’entreprises".
"Il ne faut pas oublier qu’on est dans un monde ouvert, dans l’Union européenne, avec un système de détachement qui offre une telle souplesse par rapport au contrat de travail et au droit du travail français, que certains disent qu’il faut externaliser l’emploi de nos entreprises", a poursuivi le représentant patronal.
"Pourquoi la France serait-elle moins adaptable que ses voisins européens ?", a lancé M. Chanut, affirmant "croire au salariat".
Le gouvernement a déjà fait des concessions sur ce texte, telles que la suppression du plafonnement des indemnités prud’homales pour licenciement abusif, que les petites entreprises souhaitent voir réintroduit, estimant qu’il leur donnerait de la "visibilité" pour embaucher.
De leur côté sept organisations patronales dont le Medef et la CGPME, ont fait un appel "solennel" à Manuel Valls pour modifier le texte, qui sera examiné à partir du 3 mai à l’Assemblée nationale.
Un appel à la grève a été particulièrement relayé dans les transports où de fortes perturbations sont annoncées jeudi.
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