
Crédit Mutuel : la suppression du questionnaire de santé sera financé par le dividende sociétal
Après celui des particuliers, le Crédit Mutuel a annoncé la suppression du questionnaire de santé pour les indépendants, entreprises, etc. Le (...)
L’Autorité de la concurrence préconise d’augmenter de 20% d’ici 2018 le nombre de notaires libéraux, qui pourront désormais s’installer de façon libre dans certaines zones, afin de renforcer l’offre de services, en application de la loi Macron.
Publié le par à 0 h 0
Loi Macron : l’Autorité de la concurrence recommande une hausse de 20% du nombre de notaires d’ici 2018
Dans un avis rendu jeudi, le gendarme de la concurrence recommande de "renforcer le maillage territorial" par l’installation libérale de 1.650 notaires, ce qui porterait d’ici deux ans le nombre de titulaires ou associés d’offices notariaux à 10.250, contre 8.600 actuellement.
Parmi les endroits où le potentiel de création d’offices est important figurent Paris et sa région ainsi que des zones comprenant les agglomérations de Lille (22), Rouen (23), Rennes (35), Nantes (39), Bordeaux (42), Toulouse (51), Lyon (61), Montpellier (23) et Marseille-Aubagne (35).
Dans le cadre de la loi du 6 août 2015 pour lacroissance, l’activité et l’égalité des chances économiques, qui instaure un "principe d’installation régulée" pour les notaires, l’Autorité de la concurrence s’est vu confier l’évaluation indépendante des besoins de créations d’offices.
Elle a établi une carte, qui sera révisée tous les 2 ans, qui découpe le territoire national en 307 zones d’environ 20 km de rayon - équivalentes aux "zones d’emploi" de l’Insee, sauf dans les Dom-Tom - en fonction de l’offre de services notariaux (nombre, localisation, chiffre d’affaires des offices, âge des professionnels) et de la demande estimée (démographie, situation économique).
Dans 247 zones dites "vertes", d’installation libre, les demandes des candidats auront vocation à être acceptées, dans un "rythme de création recommandé".
Dans 60 zones oranges, d’installation contrôlée, le ministèrede la Justice pourra refuser une nomination dans un nouvel office si elle est susceptible de "porter atteinte à la continuité de l’exploitation des offices existants et à compromettre la qualité du service rendu".
A l’heure actuelle, un notaire qui veut s’établir doit être nommé parle garde des Sceaux, après avoir été présenté par son prédécesseur dans un office existant, ou sélectionné par concours pour les offices créés ou vacants.
Cet avis, qui comprend une proposition de carte des zones d’implantations et des recommandations sur le rythme de créationde nouveaux offices notariaux, a été transmis aux ministres de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, et de l’Economie, Emmanuel Macron.
Ceux-ci peuvent l’approuver ou demander à l’Autorité de formuler une nouvelle proposition, mais pas l’amender, a précisé l’institution.


Après celui des particuliers, le Crédit Mutuel a annoncé la suppression du questionnaire de santé pour les indépendants, entreprises, etc. Le (...)

À propos de l’évolution de la réglementation sur les découverts bancaires, les fausses informations circulent rapidement : non, le crédit (...)

Les amendes se succèdent pour les banques : les banques à réseaux trainent des pieds pour répondre aux demandes de délégation d’assurances (...)

La fintech française Kard, dédiée aux jeunes, cesse son activité. Les clients ont jusqu’au 11 novembre 2025 afin de récupérer leurs fonds.

LCL dévoile sa nouvelle signature de marque Pour aller de l’avant.

SG-FORGE, la filiale de la Société Générale spécialisée dans les cryptos, a déployé ses stablecoins régulés en dollars et en euros dans (...)