
Crédit Mutuel : la suppression du questionnaire de santé sera financé par le dividende sociétal
Après celui des particuliers, le Crédit Mutuel a annoncé la suppression du questionnaire de santé pour les indépendants, entreprises, etc. Le (...)
Le Conseil d’État a rejeté un recours déposé par plusieurs associations, qui jugeaient trop imprécis un décret datant de début 2017 et définissant ce qu’est un logement décent, selon une décision transmise jeudi à l’AFP.
Publié le par à 0 h 0
"Les requérantes ne sont pas fondées à demander l’annulation du décret qu’elles attaquent", estime le Conseil d’État dans cette décision, prise début décembre.
Le recours avait été déposé fin 2017 par quatre organismes : les associations écologistes France Nature Environnement et Cler, l’UFC-Que Choisir et la fondation Abbé Pierre, engagée sur les questions de logement.
Elles demandaient à annuler un décret pris début 2017, dans les derniers mois du quinquennat de François Hollande, et faisant suite à la loi de transition énergétique de 2015 : ce texte définissait la notion de logement "décent".
Le recours reprochait au décret de ne pas avoir fixé d’objectif suffisamment précis en matière de performance énergétique, mettant ainsi les propriétaires dans le flou sans donner de garantie aux locataires. Selon les quatre organismes, le texte vidait de sa substance une partie de la loi de 2015.
"Contrairement à ce que soutiennent les requérantes", les dispositions de cette loi "n’imposaient pas au pouvoir réglementaire de définir le critère de performance énergétique permettant de qualifier un logement donné à bail de décent par référence à un indicateur unique et chiffré au quantifiable", répond le Conseil d’État dans sa décision transmise jeudi.
L’institution estime que le décret prévoit des critères suffisants en matière d’isolation, quand bien même il ne donne pas d’objectif chiffré.
Il impose par exempleque le logement soit "protégé contre les infiltrations d’air parasites" et que ses murs extérieurs "présentent une étanchéité à l’air suffisante".


Après celui des particuliers, le Crédit Mutuel a annoncé la suppression du questionnaire de santé pour les indépendants, entreprises, etc. Le (...)

À propos de l’évolution de la réglementation sur les découverts bancaires, les fausses informations circulent rapidement : non, le crédit (...)

Les amendes se succèdent pour les banques : les banques à réseaux trainent des pieds pour répondre aux demandes de délégation d’assurances (...)

La fintech française Kard, dédiée aux jeunes, cesse son activité. Les clients ont jusqu’au 11 novembre 2025 afin de récupérer leurs fonds.

LCL dévoile sa nouvelle signature de marque Pour aller de l’avant.

SG-FORGE, la filiale de la Société Générale spécialisée dans les cryptos, a déployé ses stablecoins régulés en dollars et en euros dans (...)