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Le groupe Vinci, concessionnaire via sa filiale Lisea de la future ligneà grande vitesse (LGV) Tours-Bordeaux, estime que quelques dessertes quotidiennes supplémentaires, au-delà des 16,5 annoncées par le gouvernement, seront nécessaires à la viabilité économique du projet.
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LGV Tours-Bordeaux : il faudra "quelques petits trains en plus" pour que le projet soit viable (Vinci)
Selon le PDG de Vinci, Xavier Huillard, "il faut quelques petits trains en plus" afin d’assurer une cadence susceptible de "convaincre la clientèle d’affaires d’utiliser le train plutôt que l’avion" et d’exploiter la ligne dans "des conditions économiques à peu près satisfaisantes".
"Les discussions sont toujours en cours" à ce sujet, a indiqué M. Huillard, précisant par ailleurs que le groupe est "plutôt en avance" sur ce chantier : "l’objectif de livrer cette ligne à l’été 2017 sera tenu, voire légèrement amélioré".
La LGV Tours-Bordeaux, dont la mise en service est prévue en juillet 2017, doit mettre Paris à 2H05 de Bordeaux, contre au minimum 3H15 actuellement.
Elle a fait l’objet depuis des mois de vives passes d’armes, notamment en raison de son montage financier, basé sur un partenariat public-privé, entre les collectivités, la SNCF et le concessionnaire Lisea, filiale de Vinci.
De son côté le consortium de banques qui finance le chantier "a débloqué fin décembre les 140 millions d’euros" dont il avait suspendu le paiement, a indiqué Xavier Huillard le PDG de Vinci, lors d’une rencontre avec la presse.
"Le problème c’est que des échéances comme celle-là , on en a une par mois et les banquiers ne voient aucun intérêt à continuer à financer cette affaire, s’ils ont le sentiment qu’elle aura du mal à trouver son équilibre à l’exploitation, les premières années", a-t-il ajouté. Le coût de ce projet est de "huit milliards d’euros", a précisé M. Huillard.
Lisea qui construit cette LGV, en sera également le gestionnaire, c’est-à-dire que les opérateurs ferroviaires, pour y faire circuler leurs trains, lui verseront des péages, et non à SNCF Réseau comme c’est le cas sur la majeure partie du réseau français.
Or la SNCF estime qu’elle perdra 150 à 200 millions d’euros par an avec cette ligne, sur laquelle le secrétaire d’Etat aux Transports, Alain Vidalies, a annoncé fin octobre qu’une moyenne de 16,5 dessertes relieront chaque jour Paris à Bordeaux.
ref/jul/fpo/gib


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