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Nouveau coup dur pour les retraités. Après la hausse de la CSG, voici que le gouvernement abaisse la revalorisation des pensions à seulement +0.30% par an pour les deux prochaines années. L’écart de hausse est conséquent, +0.30% au lieu d’un +1.60% théorique. Difficile à accepter. Les retraités sont donc une nouvelle fois mis à contribution pour tenter de sauver le budget 2019.
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Le chef du gouvernement Édouard Philippe a révélé dans le JDD les arbitrages budgétaires de cette rentrée. Le retraités, les familles modestes et les Français bénéficiaires de l’APL seront mis à contribution.
Le gouvernement a décidé une nouvelle fois de mettre à contribution les retraités, afin de tenter le budget 2019, suite à la nouvelle évaluation de la progression de l’économie française (1.6% au lieu de 1.9%). Après avoir acté la désindexation des pensions sur l’inflation, le gouvernement prévoit donc de réduire la revalorisation des pensions en 2019 et 2020, à seulement +0.30%. Une hausse ridicule quand l’inflation est en passe de toucher ses plus haut de plusieurs années (+2.30% en juillet 2018, mais estimée à +1.60% en fin d’année 2018). Après la sanction de la hausse de la CSG de +1.70%, ce nouveau coup dur porte à un total de 3% de perte de pouvoir d’achat des retraités.
Selon la règle appliquée habituellement, les retraités auraient dû bénéficier d’une revalorisation proche du taux de l’inflation annuel donnée. Cette inflation, en rythme annuel, est de +2.30% pour le mois de juillet 2018, mais est estimée en baisse sur la fin de cette année. C’est pourquoi l’inflation retenue ne serait que de +1,60% en fin d’année.
Beaucoup l’ont oublié, mais la majorité avait déjà décidé l’an dernier de repousser de trois mois la date de cette augmentation annuelle pour permettre à la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV) d’économiser plusieurs centaines de millions d’euros. Elle aura donc lieu le 1er janvier 2019 au lieu du 1er octobre 2018. Et sera en plus sérieusement rabotée.
« Depuis Édouard Balladur la revalorisation des pensions est indexée sur l’inflation et plus comme avant sur les salaires. C’était déjà une sorte de paupérisation des retraités », décrypte l’économiste Éric Heyer de l’OFCE pour qui « cette nouvelle mesure va encore un cran au-dessous ».
Selon une étude du Conseil d’orientation des retraites, d’ici 2050, la baisse moyenne des revenus des retraités par rapport à l’évolution des salaires atteindra 20 %…
Un décrochage qui ne concerne pas les retraites complémentaires, revalorisées au 1er novembre. Rien ne devrait changer dans le mode de calcul qui est déjà moins généreux. L’augmentation correspond à la dernière prévision Insee de l’inflation moyenne sur l’année, diminuée de 1 point. Les retraités devraient donc gagner, si la prévision se confirme, 0,6 % (après 0 % l’année dernière) sur le montant de leur pension complémentaire.


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