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La Caisse des dépôts, l’organisme public qui finance le gros des opérations du logement social, a défendu mercredi son rôle central pour le secteur, le jugeant essentiel au moment où le gouvernement étudie l’idée d’y attirer des investisseurs privés.
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"On a un système précieux", a assuréEric Lombard, directeur général de la Caisse, lors d’une rencontre avec la presse à l’occasion du congrès annuel du monde HLM.
La Caisse des dépôts, sorte de bras financier de l’Etat, apporte aux bailleurs sociaux l’essentiel des fonds nécessaires à la construction de logements, en leur octroyant des prêts sur des durées souvent bien plus longues que dans le privé et à des taux nettement plus avantageux, en puisant dans les Livrets A des Français.
"Si tout le secteur devait se financer sur le marché bancaire, on aurait un risque que les acteurs les plus petits ne trouvent pas de financement", a jugé M. Lombard, en soulignant que "les grands acteurs", eux, "trouveraient à se financer".
La CDC assure "une mutualisation des risques et des conditions financières de l’ensemble des bailleurs sociaux", a relevé son directeur général, alors quele gouvernement étudie prudemment la manière d’encourager des investisseurs privés à s’engager dans le secteur du logement social, où prévalent des règles strictes.
M. Lombard, lui-même venu du privé, a assuré qu’il ne réagissait pas particulièrement à cette initiative gouvernementale et tenait ce discours "de façon tout à fait égale depuis deux ans", c’est à dire depuis qu’il est à la tête de la Caisse.
Il a par ailleurs défendu la probable baisse à venir du taux du Livret A, une évolution qui favorise le financement des bailleurs mais affecte les épargnants : le placement sur le Livret A rapporte déjà moins que ce que coûte l’inflation, induisant une perte de pouvoir d’achat pour les épargnants.
M. Lombard table sur un taux baissé à 0,5% début 2020 et estime qu’il devrait rester à ce niveau jusqu’en 2022. Mais selon lui, le Livret A garde son intérêt. "Les produits concurrents", notamment l’assurance-vie, "sont quand même de moins en moins attractifs", a-t-il souligné.


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