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Alors que le marché de l’immobilier commence à frémir de nouveau, une étude de l’association Dinamic indique que l’incidence sur le prix du bien immobilier d’un DPE (Diagnostic de Performance Energétique) très favorable serait de l’ordre de 30%, par rapport au même bien doté d’un DPE défavorable. Information surprenante compte-tenu des polémiques qu’entourent ce DPE.
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<img3840|left> Selon l’étude de l’association Dinamic, la différence de prix entre un logement très économe en énergie et une habitation comparable très mal isolée peut dépasser les 30%. Le point par région climatique.
Un DPE pourtant critiqué
Obligatoiredepuis 2011, le diagnostic de performance énergétique (DPE) des logements fait toujours l’objet de nombreuses polémiques. Son mode de calcul reste contesté. Sa fiabilité est sujette à caution. Néanmoins, le DPE sert de référence pour nombre d’acheteurs.
Quel est l’impact du DPE sur le prix de vente d’un logement ?
L’association Dinamic (constituée en 2010 par le Conseil supérieur du notariat et la Chambre des notaires de Paris avec le concours de la Caisse des dépôts et consignations) affine d’année en année ses études concernant la « valeur verte » des habitations. Elle s’appuie pour cela sur les statistiques des bases notariales (période 2012-2013) et propose une estimation des écarts de prix (qui ont 95% de chance de se vérifier).
La dernière étude en date bénéficie d’une augmentation des taux de renseignement des étiquettes énergie qui « avoisine 40% en juin 2014 », selon l’étude. Ces progrès permettent notamment de présenter pour la première fois des résultats pour l’Ile-de-France et pour les appartements.
Un écart de valeur de 5% est globalement constaté en moyenne pour chaque lettre du DPE en province, mais il est plus atténué en Ile-de-France. Il est vrai que le marché y est bien plus tendu et au vu des prix élevés, l’économie potentielle résultant d’une meilleure performance énergétique y est plus faible qu’ailleurs.
A contrario, dans certaines régions comme la Bretagne, l’impact peut être particulièrement prononcé ! En prenant pour référence une maison bénéficiant d’une étiquette D à 100.000 euros, on se rend compte qu’une maison comparable classée A se vendrait 112.000 euros tandis qu’une passoire thermique (classée G) ne vaudrait que 85.000 euros. Au final, la maison très bien classée se vendrait 31,7% plus cher que le mauvais élève énergétique ! De quoi voir d’un autre Å“il l’intérêt des travaux d’isolation.


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