
Taux immobiliers : ce qui va changer en 2026
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Dans la 105e édition de son baromètre, Meilleursagents.com prévoit une progression des prix des logements de 1.50% d’ici à l’été 2019, avant un retournement de tendance. La remontée des taux d’intérêt, impulsée par la BCE, viendrait apporter indirectement une correction saine sur les prix de l’immobilier.
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Cela fait des mois, pour ne pas dire des années, qu’une baisse marquée des prix de l’immobilier est attendue, sur l’ensemble du territoire. Force est de constater qu’à ce jour, rien n’est venu. Si les prix baissent effectivement dans près de 18 grandes villes françaises en 2018, pour les 32 autres comptant parmi les 50 plus grandes de France, les prix continuent de grimper. Moins rapidement, mais tout de même, la hausse irrationnelle des prix perdure.
Ainsi, d’après les chiffres publiés dans lea 105e édition du baromètre de MeilleursAgents.com, à Paris, la hausse des prix est sensiblement plus forte qu’au plan national : +5,3 % en 2016, +6,7 % en 2017 et +4,6 % sur les huit premiers mois de 2018. Dans la capitale, les prix ont bondi de 41,5 % en dix ans. Il faut cependant noter que l’[a[inflation]a] de la pierre est loin d’être uniforme sur le territoire : sur les huit premiers mois de l’année 2018, plus d’un tiers (35 %) des cinquante plus grandes villes de France ont vu leurs prix diminuer.
Sur le mois d’août dernier, les taux des crédits immobiliers ont stoppé leur baisse inexorable, pouvant conduire vers de nouveaux records. Si l’inflation a déjà pointé le bout de son nez (+2.3% en juillet), les taux d’intérêts des marchés financiers n’ont pas encore suivant ce train de la hausse. Les [a[taux OAT]a] restent faibles, et les tensions géopolitiques actuelles n’y changent rien. Mais la BCE, à l’origine de cette situation totalement irréaliste de taux d’intérêts négatifs, a confirmé son intention de revenir à une situation plus conventionnelle dès 2019, de façon graduelle. Attention aux yeux. Cela risque de piquer sévèrement les investisseurs trop largement portés sur l’immobilier. Car si leur endettement restera une bonne affaire quelque soit l’évolution des taux d’intérêt, le prix de leurs actifs devrait être revu sérieusement à la baisse. Même avec des conditions de financement extraordinaires, acheter trop cher, c’est encaisser une perte à la revente.
Avisés, les investisseurs, habituellement friands de réductions fiscales, via le [a[Pinel]a] notamment, ont remis à plus tard leur projet d’acquisition de biens immobiliers. Entre l’année blanche fiscale confirmée en 2018, l’incertitude du traitement du bon fonctionnement du prélèvement à la source, ces prix sur-évalués sur le marché du neuf, et maintenant cette attente affirmée d’un retournement du marché, la patience est sans doute un bon conseil.


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