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Les professionnels de l’immobilier confirment : le marché de l’immobilier est actuellement mort. Les acheteurs attendent la baisse des prix. De son côté, SeLoger.com confirme une baisse attendue des prix de 5 à 10% sur 2013.
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Immobilier : baisse des prix de 5à 10% en 2013
Le groupe franàƒÂ§ais d’annonces immobiliàƒÂ¨res en ligne SeLoger.com a annoncé vendredi s’attendre à une baisse des prix de l’[a[immobilier]a] de l’ordre de 5 à 10% en 2013, à l’occasion du lancement d’un panorama trimestriel du marché réalisé avec le courtier [a[Meilleurtaux]a].
"L’intérêt des FranàƒÂ§aispour l’immobilier ne cesse de croàƒÂ®tre (...). Dans ce contexte, les prix s’ajustent pour la premiàƒÂ¨re fois à la baisse dans certaines villes de France", a estimé Roland Tripard, président du directoire de SeLoger.com, prévoyant un recul "contenu et lent, de l’ordre de 5 à 10%" sur l’année.
<img927|left> Pour autant, cette tendance tarde à produire ses effets : les prix à la vente affichés sur le site SeLoger.com, qui revendique 1,3 million d’annonces en ligne et 24.000 agences immobiliàƒÂ¨res partenaires, sont restés stables en France sur un an le mois dernier, selon les chiffres de ce nouveau baromàƒÂ¨tre.
En mars, la moyenne des prix à la vente en France s’est affichée à 3.662 euros par màƒÂ¨tre carré pour les appartements et à 2.281 euros pour les maisons.
"Ces données sont une moyenne nationale. Mais au niveau local, on constate une vraie baisse des prix dans certaines villes, notamment à Paris", a précisé à l’AFP Karine Reffet, directrice de la communication de SeLoger.com.
Malgré cette évolution, le mois de mars est resté marqué par l’attentisme des acheteurs et des vendeurs, avec une baisse de 7% sur un an du volume des compromis devente signés en agence, poursuit l’étude.
"Le marché est resté grippé", a confirmé Mme Reffet, soulignant que les taux de crédit historiquement bas n’ont pas suffi à relancer l’activité du secteur.
Signal encourageant toutefois, le courtier Meilleurtaux a constatéun léger retour de la demande de crédit, ainsi qu’une hausse de 3% des demandes de dossiers sur son site avec signature d’un compromis sur les trois derniers mois.
– [a[Crédit immobilier]a] : les taux sont bas, mais les banques demandent de fortes garanties
Emprunter aujourd’hui sans apport d’au moins 30 à 40%, c’est se préparer à essuyer de nombreux refus, même pour des dossiers solides. Si les taux des [a[crédits immobiliers]a] sont au plus bas, cela ne suffit donc pas.
"Au premier trimestre 2013, les banques ont poursuivi le mouvement de baisse entamé début 2012 et un nouveau plancher historique - 3,35% en moyenne sur 20 ans - a été atteint. Dans ce contexte, nous avons constaté un léger retour de la demande de crédit en février et mars, qui se poursuit sur les premiers jours d’avril", a déclaré Hervé Hatt, directeur général de Meilleurtaux, cité dans l’étude.


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