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L’association UFC-Que Choisir dénonce la persistance d’excès à tous les étages dans les pratiques des agences immobilières, pointant leur manque de transparence et jugeant décevant l’effet du plafonnement légal de leurs honoraires, pourtant largement respecté.
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Honoraires de location : l’UFC-Que Choisir dénonce un manque de transparence toujours flagrant
Au terme d’une enquête de terrain auprès de 1.246 agences immobilières, réparties dans 76 départements, l’UFC dit avoir constaté que la transparence était "aux oubliettes".
L’association de consommateurs "met en demeure de se conformer à leurs obligations légales et réglementaires" 392 de ces agences, pour lesquelles elle a constaté "des illégalités", à défaut de quoi elle envisagera des actions judiciaires.
Parmi les agences visitées, plus d’une sur trois n’affichait "pas systématiquement" l’information sur le diagnostic de performance énergétique (DPE) deslogements proposés à la location.
Or, "en raison de la flambée des prix de l’énergie, cette information est particulièrement importante pour le locataire qui ne peut pas intervenir sur l’isolation du logement", souligne l’UFC.
De même, moins d’une sur cinq (18%) respecte "l’information détaillée" sur les honoraires de location, qui doit distinguer les frais d’agence de l’état des lieux qui peut être réalisé par un tiers.
Et environ un quart (26% contre 21% en 2011) des agences "n’affichent toujours aucune information sur les honoraires en vitrine", une obligation légale qui date pourtant de 25 ans, s’insurge l’association.
Enfin, si 9 agences immobilières sur 10 (94%) respectent les plafonds légaux d’honoraires de location facturés au locataire, l’ambition du législateur, qui était de les diviser par deux, "se solde par un échec".
En zone très tendue, les frais d’agence n’ont ainsi baissé "que de 20% entre 2011 et 2015, loin des 50% promis par le législateur", selon l’enquête de l’UFC-Que Choisir.
En zone tendue, ils ont baissé de 10%, et en zone détendue, ils ont même "légèrement augmenté",passant de 7,10 euros à 7,50 euros du m2 (+5%), selon l’association.
Par ailleurs, "le service au candidat locataire est fort limité" car près de 4 agences sur 10 (38%) n’ont pas fourni d’informations détaillées sur le bien en location.
Enfin, "la quête excessive de garanties des agences au profit des bailleurs a la vie dure". "En dépit du décret de novembre 2015 listant strictement les pièces exigibles, 81% des agences enquêtées n’ont pas hésité à demander au moins un document interdit", tel qu’un RIB, un livret de famille ou une carte grise (62% en 2011).


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