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L’ex-ministre du Budget Eric Woerth a indiqué jeudi soir à l’AFP qu’il avait de nouveau été entendu dans la journée à la Cour de justice de la République (CJR) sur la vente controversée de l’hippodrome de Compiègne en 2010.
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Hippodrome de CompiàƒÂ¨gne : Woerth à nouveau entendu à la CJR, demeure témoin assisté
Les magistrats de cette instance habilitée à enquêter sur les faits commis par les ministres dansl’exercice de leurs fonctions l’ont maintenu sous le statut intermédiaire de témoin assisté, a-t-il précisé, confirmant une information d’I-télé.
"Je reste témoin assisté", a déclaré à l’AFP l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy. "Il n’y a pas de charge contre moi", s’est-il défendu.
Cette affaire est l’objet de deux enquêtes menées en parallàƒÂ¨le, celle instruite à la CJR et son volet non-ministériel conduit par des juges du pàƒÂ´le financier de Paris.
Au centre des interrogations de la justice, la décision, prise le 16 mars 2010 par l’élu de l’Oise, alors ministre du Budget, de valider par arrêté la vente de gré à gré pour 2,5 millions d’euros d’une parcelle de 57 hectares de la forêt de CompiàƒÂ¨gne, comportant un golf et un hippodrome, à la Société des courses de CompiàƒÂ¨gne , jusqu’alors locataire.
Une décision prisemalgré l’opposition de responsables de l’Office national des forêts (ONF) et les réserves du ministàƒÂ¨re de l’Agriculture.
L’enquête de la CJR pour prise illégale d’intérêt avait été ouverte en janvier 2011. ApràƒÂ¨s la plainte d’un syndicat forestier et de députés de gauche, uneinformation judiciaire avait été ouverte pour le volet non ministériel du dossier. Aucune mise en examen n’a été prononcée.
M. Woerth avait été placé sous le statut de témoin assisté au printemps 2011.
Pour ceux qui contestent la vente, celle-ci serait allée à l’encontre des textes en vigueur, qui prévoient l’adoption d’une loi préalable à l’aliénation des bois et forêts de l’Etat. L’absence d’appel d’offre, de publicité et de mise en concurrence a également été dénoncée. Mais c’est surtout le prix de cession (2,5 millions d’euros) qui a suscité lapolémique.
ParallàƒÂ¨lement à ces enquêtes pénales, une procédure administrative lancée notamment par le syndicat forestier et des députés écologistes est toujours en cours à Paris pour faire annuler la vente.


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