
Crédit Mutuel : la suppression du questionnaire de santé sera financé par le dividende sociétal
Après celui des particuliers, le Crédit Mutuel a annoncé la suppression du questionnaire de santé pour les indépendants, entreprises, etc. Le (...)
L’ex-secrétaire général de l’Elysée Claude Guéant a été entendu lundi à Paris dans l’enquête sur la nomination controversée en 2009 de François Pérol, un proche de Nicolas Sarkozy, à la tête du groupe Banque populaire-Caisse d’Epargne (BPCE), a appris l’AFP de source proche du dossier.
Publié le par à 0 h 0
Guéant entendu dans l’enquête sur la nomination de Pérol à la BPCE
Contacté par l’AFP, l’ancien ministre de l’Intérieur a confirmé cette audition comme témoin par le juge Roger Le Loire au pàƒÂ´le financier du Tribunal de grande instance de Paris. M. Guéant s’est refusé à tout autre commentaire.
Lancée en 2010, l’enquête porte sur les conditions dans lesquelles FranàƒÂ§ois Pérol avait été nommé à la tête de BPCE en février 2009, apràƒÂ¨s avoir passé deux années à l’Elysée comme secrétaire général adjoint, chargé des dossiers économiques. Claude Guéant était alors secrétaire général de la présidence de la République.
La nomination de M. Pérol avait été la cible de vives critiques, de la gauche et de syndicats de la banque, qui dénonàƒÂ§aient un conflit d’intérêts, car il avait pris part à l’Elysée aux négociations sur la fusion entre la Caisse d’Epargne et la Banque populaire.
La loiinterdit à tout fonctionnaire de travailler pour une entreprise qu’il a surveillée, avec laquelle il a conclu un contrat ou qu’il a conseillé sur ses opérations dans les trois ans précédant son passage du public au privé.
Une deuxiàƒÂ¨me polémique était née car la Commission de déontologie de la fonction publique n’avait pas été saisie, contrairement à ce qu’avait affirmé le président de l’époque Nicolas Sarkozy. Son président, Olivier Fouquet, avait donné un avis favorable à l’Elysée mais il s’agissait d’une "opinion personnelle", avait-il précisé.
FranàƒÂ§ois Pérol s’était défendu en affirmant qu’il n’avait eu qu’un ràƒÂ´le de conseil aupràƒÂ¨s de Nicolas Sarkozy, qui n’entrait pas dans le champ des interdictions prévues par la loi. En novembre 2012, il a été reconduit à la tête de BPCE jusqu’en 2016 par le conseil de surveillance du groupe.
L’association anti-corruption Anticor avait déposé une premiàƒÂ¨re plainte en mars 2009, suivie par les syndicats CGT et Sud des Caisses d’Epargne. ApràƒÂ¨s avoir entendu M. Pérol, le parquet de Paris avait classé une premiàƒÂ¨re enquête sans suite, puis il s’était opposé à l’ouverture d’une information judiciaire, finalement ordonnée par la Cour de cassation en juin 2012, soit trois ans apràƒÂ¨s les premiàƒÂ¨res plaintes.
Ancien bras droit de Nicolas Sarkozy, M. Guéant est cité dans plusieurs affaires intéressant la justice.


Après celui des particuliers, le Crédit Mutuel a annoncé la suppression du questionnaire de santé pour les indépendants, entreprises, etc. Le (...)

À propos de l’évolution de la réglementation sur les découverts bancaires, les fausses informations circulent rapidement : non, le crédit (...)

Les amendes se succèdent pour les banques : les banques à réseaux trainent des pieds pour répondre aux demandes de délégation d’assurances (...)

La fintech française Kard, dédiée aux jeunes, cesse son activité. Les clients ont jusqu’au 11 novembre 2025 afin de récupérer leurs fonds.

LCL dévoile sa nouvelle signature de marque Pour aller de l’avant.

SG-FORGE, la filiale de la Société Générale spécialisée dans les cryptos, a déployé ses stablecoins régulés en dollars et en euros dans (...)