
Crypto : création d’un stablecoin en euro, réglementé, commun à 9 banques
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La fusion des réseaux de distribution entre le Crédit du Nord et la Société Générale vise à lancer une nouvelle banque auprès de 10 millions de clients. 600 fermetures d’agences sont envisagées d’ici 2025. La direction du groupe Société Générale assure qu’aucun départ ne sera contraint, les syndicats anticipent la suppression de 3.000 à 5.000 postes.
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Le groupe bancaire Société générale a annoncé, lundi 7 décembre, vouloir fusionner ses réseaux de détail Société générale et Crédit du Nord. En cause, l’anticipation de l’accélération de l’évolution des comportements clients au sortir de la crise du Covid-19, avec un recours accru aux services en ligne et des attentes encore plus fortes de réactivité et d’immédiateté dans les services bancaires.
Le projet impliquera la fermeture de 600 agences en vue de créer un nouvel ensemble servant dix millions de clients, qui devrait être opérationnel au premier semestre 2023, précise un communiqué.
Le projet de rapprochement doit notamment permettre à Société Générale d’augmenter la rentabilité de sa banque de détail, avec une année 2020 particulièrement délicate. Les résultats de la Société Générale restent négatifs, alors que les banques concurrentes n’ont pas réellement ressentie la crise. La banque en rouge et noir espère ainsi générer 400 à 450 millions d’euros d’économies.
Le groupe entend préserver la même empreinte territoriale tout en réduisant le nombre d’agences – dans une même ville, il y a en effet souvent des agences des deux enseignes à proximité l’une de l’autre. Il passera ainsi d’environ 2 100 agences à fin 2020 à environ 1 500 à fin 2025.
Le rapprochement ne nécessitera "aucun licenciement, aucun départ contraint", a assuré Sébastien Proto, directeur général adjoint du groupe. Ce dernier estime que les départs naturels ces prochaines années permettront de mener à bien le projet, tout en continuant à recruter.
Mais les syndicats craignent de nombreuses suppressions d’emplois, en raison des doublons entre les deux structures. La CFDT du Crédit du Nord avait estimé que les deux banques pourraient perdre au moins "entre 3 000 et 5 000 emplois".
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