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Le Cercle des Épargnants, association soutenue par Generali, a publié la 16e édition de son baromètre sur l’épargne et la retraite. Les Français restent toujours autant averses aux risques financiers, se privant ainsi d’une possibilité de se constituer un capital conséquent sur le long terme. Mais les épargnants avouent, pour 49% d’entre eux, leur méconnaissance des marchés financiers. Tout espoir n’est donc pas encore perdu.
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Le dernier baromètre du Cercle des Épargnants / Ipsos, 16e édition, est sans nouvel enseignement. 72% des Français restent inquiets pour leur [a[retraite]a], l’[a[assurance-vie]a] reste leur placement préféré. Les épargnants reconnaissent également peu maîtriser le fonctionnement des [a[placements financiers]a], et restent majoritairement averses aux risques.
Les crise financières passent, la défiance vis à vis des marchés financiers se renforcent. Les deux dernières vagues baissières des années 2000 et 2008 resteront marquées longtemps dans les esprits. L’excellente tenue des places boursières, comme en 2017, ne pondère en rien le jugement. Bilan, selon le 16e baromètre du Cercle des Épargnants, les Français restent toujours autant prudents, même pour de l’épargne à très long terme comme l’épargne retraite.
Sans surprise, l’assurance-vie reste le produit d’épargne préféré, en montant placé. 40% des Français ont souscrit au moins un contrat, contre 84% de détention d’un [a[livret A]a]. L’assurance-vie a l’avantage de répondre à plusieurs objectifs de placement différents. Ainsi, pas moins de 42% des épargnants utilisent ce produit à des fins d’épargne retraite, alors que l’assurance-vie n’est pas un placement dédié spécifiquement à cet objectif.
Alors que les assureurs s’emploient à faire le forcing pour pousser les épargnants vers les unités de compte, seule issue pour aller chercher du rendement selon ces premiers, les Français restent massivement averses aux risques. Ainsi, pas moins de 62% des épargnants préfèrent une épargne qui rapporte peu mais sans risque qu’un investissement potentiellement plus rémunérateur mais très risqué. A priori, cette attitude semble pour le moins rationnelle.
Toutefois la gestion de la couverture des risques financiers, par rapport à son patrimoine global, permet de s’exposer de façon mesurée aux risques, apportant ainsi une position optimale pour le ration rendement/risque. La gestion d’allocations d’actifs a donc encore de beaux jours devant elle.


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