Dette des hôpitaux : l’État prêt à prendre en charge l’ardoise

Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire s’est dit dimanche ouvert à une éventuelle reprise de la dette des hôpitaux, soulignant la nécessité de leur donner les moyens de fonctionner bien.

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Reprise de la dette des hôpitaux

"Tout est ouvert", a déclaré M. Le Maire lors de l’émission BFM Politique de BFM-Le Parisien, en réponse à une question sur la dette des hôpitaux. "Je suis ouvert à toutes les solutions du moment qu’elles sont rapides, efficaces et qu’elles concernent les personnels hospitaliers en priorité", a-t-il développé. "Il faut mettre le paquet sur l’hôpital" et "nous ne compterons pas notre effort", a-t-il lancé. "Le ministère de l’Economie et des Finances est parfaitement lucide sur la nécessité qu’il y a de leur donner les moyens de fonctionner bien", a dit M. Le Maire.

Réforme des retraites, prendre le temps de la discussion

Interrogé d’autre part sur la réforme des retraites, il a insisté sur la nécessité d’avoir un système "à l’équilibre". Il faut aussi un système qui "soit simple et juste", a-t-il ajouté. M. Le Maire n’a pas souhaité se prononcer sur l’introduction éventuelle d’une "clause du grand-père" (permettant d’appliquer le système de retraite à points uniquement aux nouveaux entrants sur le marché du travail,ndlr). "Laissons le débat", a-t-il dit, en notant que "ça vaut le coup de prendre le temps" pour une réforme qui concerne la "solidarité".

Il a d’autre part jugé nécessaire la réforme du travail de nuit. "Mais il faut avoir l’humilité de prendre le temps pour discuter, dialoguer pour trouver les justes compensations", a-t-il estimé.

"Le statu quo n’est pas une option pour le gouvernement", a affirmé Bruno Le Maire. "Notre responsabilité" est "d’aller au bout de la transformation économique et sociale pour laquelle nous avons été élus", a-t-il déclaré.

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