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Première victime importante de la chute artificielle des taux d’intérêts de ces dernières années. La vague de renégociation des crédits immobiliers aura conduit le Crédit Foncier à sa disparition. Dédié uniquement sur la commercialisation de crédits immobiliers, les taux d’intérêts, historiquement faibles, et décorellés de l’économie réelle, ne permet pas à l’institution de conserver une rentabilité suffisante. Sa maison mère, la BPCE a décidé de mettre un terme au Crédit Foncier.
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Sa maison mère, BPCE, justifie sa décision ainsi : "du constat que le modèle d’établissement spécialisé sur le seul segment du financement immobilier n’est plus adapté, ni compétitif, principalement en raison d’une absence de bancarisation des clients et d’un refinancement exclusif sur les marchés financiers". En clair, avec des taux d’intérêts aussi faibles, la seule activité de commercialisation de crédits immobiliers n’est plus rentable. A l’aube d’une remontée des taux d’intérêts, mieux vaut stopper cette activité avant que le marché ne se contracte véritablement.
Le produit net bancaire du groupe, supérieur à 900 millions d’euros sur la période 2006-2011, a violemment décroché en 2012 et 2013 pour atteindre l’an dernier 555 millions après un rebond avorté en 2014 et 2015. Dans le même temps, les effectifs ont régulièrement fondu, passant de plus de 4.000 à 2.400 équivalents temps pleins entre 2006 et 2017.
« Ce projet d’intégration est issu du constat que le modèle d’établissement spécialisé sur le seul segment du financement immobilier n’est plus adapté ni compétitif, principalement en raison d’une absence de bancarisation des clients et d’un refinancement exclusif sur les marchés financiers ».
Cette baisse de la production a conduit à un net tassement des encours, qui ont décru depuis 2010 de 118 milliards d’euros à moins de 86 milliards en 2017. Une volumétrie qui, combinée à la baisse des taux, a tiré inexorablement les résultats vers le bas. Le résultat net part du groupe est ainsi passé de 350 millions d’euros en 2006 à seulement 33 millions l’an dernier.
BPCE s’est engagé à retrouver un poste à l’ensemble des salariés concernés par la réorganisation, que ce soit au sein des réseaux Banques Populaires et Caisses d’Epargne, de Natixis, de Banque Palatine ou de la maison mère BPCE SA. En parallèle, un plan de départs volontaires sera lancé.
Les clients du Crédit Foncier se voient donc proposer des offres des réseaux BPCE, Banques Populaires et Caisse d’Epargne. L’idée sera donc de leur proposer un compte courant et de multiples [a[services bancaires]a] associés afin de dégager suffisamment de revenus bancaires.
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