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Nul doute que la bulle spéculative sur le Bitcoin va éclater, mais personne ne peut prédire quand cela va intervenir. Les conseils de prudence se multiplient, et les banquiers demandent l’intervention des régulateurs. La fête doit se terminer.
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Ce week-end a nu naître le second émetteur de contrats futures sur le Bitcoin auprès de CME, une semaine après celles de CBOe, marquant ainsi son entrée dans le monde sérieux de la finance réservée aux pros. Mais ce marché des contrats futures est si calme que cela tient encore du fait divers. De son côté, le cours du Bitcoin n’en finit plus de voler de records en records, un passage au-dessus des 19.150$ ayant été franchi ce matin encore.
Le président du conseil d’administration de la banque suisse UBS Axel Weber a déclaré dans une interview publiée dimanche qu’il ne considérait pas les bitcoins comme une monnaie et a demandé aux régulateurs d’intervenir. La valeur de cette cryptodevise a connu une ascension fulgurante passant de moins d’un dollar en janvier à plus de 16.000 dollars la semaine dernière, suite à son introduction sur le Chicago Board Options Exchange.
Cependant, dans une interview à l’hebdomadaire NZZ am Sonntag, M. Weber met en garde les investisseurs contre la tentation de prendre le train en marche, affirmant qu’une bulle allait inévitablement éclater. "A mon sens, les bitcoins ne sont pas de l’argent", a-t-il affirmé, insistant sur le fait que cette monnaie virtuelle souffrait de "défauts de conception".
Selon le banquier, la monnaie a pour but de remplir trois fonctions essentielles et les bitcoins n’en remplissent aucune. M. Weber a estimé que les bitcoins n’étaient pas un moyen réel de paiement puisqu’elles ne sont pas universellement reconnues. Elles ne constituent pas une bonne mesure de valeur sachant que les prix ne sont pas libellés en bitcoins et elles ne sont pas un bon moyen de stocker de la valeur puisqu’elles sont intrinsèquement instables, a-t-il expliqué.
Le principal problème est qu’en l’absence de banque centrale et d’un émetteur contrôlant la fourniture de bitcoins, la valeur est uniquement déterminée par la demande ce qui conduit à d’"énormes fluctuations de prix dans les deux sens".
Aussi, la banque UBS a décidé de conseiller de manière explicite à ses clients de ne pas investir dans la monnaie virtuelle, a dit M. Weber, soulignant que la banque ne la considérait pas comme "valable et durable".
Pour protéger les investisseurs qui ne tiennent pas compte de l’avis de la banque, "les régulateurs sont nécessaires", a conclu le président de l’UBS.
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