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Les banques n’ont pas la cote en France. Selon l’enquête annuelle Deloitte publiée hier, la crise renforce la mauvaise image qu’ont les Français de leur banque. Près de 40% d’entre eux ne conseilleraient pas leur banque à leur entourage...
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Le grand désamour des FranàƒÂ§ais pour leurs banques
Les FranàƒÂ§ais n’aiment pas les banques traditionnelles. La crise de 2007 n’aura rien arrangé. Selon la 3iàƒÂ¨me édition de l’enquête annuelle Deloitte, pràƒÂ¨s de 40% ne recommandent pas leur banque à leur entourage. Seuls 23% d’entre eux seraient disposés à la faire. Ce score est bien loin de ceux d’autres pays, mettant la France en bas du classement international.
– Incompétence, frais excessifs et changement d’interlocuteur trop fréquent : le trio gagnant des reproches effectués
Les principaux reproches cités par l’enquête sont avant tout l’incompétence reprochée aux banques, suivent les [a[frais bancaires]a], jugés trop élevés, et enfin , le manque de relation durable avec le chargé de compte. Ce dernier étant remplacé à une fréquence trop élevé ("change tous les 6 mois").
Les banques prêtent à tout pour vendre plus
La confusion de l’image des banques réside également dans le fait de vouloir commercialiser des offres ou services non bancaires. Ainsi, rien n’est plus troublant qu’une banque commercialisant des forfaits de téléphones mobiles, des alarmes pour la maison, ou d’autres services, bien loin de leur métier de base. La crise aurait dàƒÂ » pourtant leur montrer qu’être le spécialiste en tout, c’est être le généraliste de rien.
Les FranàƒÂ§ais n’aiment pas leur banque actuelle, mais n’en changent pas pour autant !
Seules les [a[banques en ligne]a] semblent encore tirer leur épingle du jeu. Tel est le constat effectué par la derniàƒÂ¨re enquête annuelle Deloitte. Mais paradoxalement, si les FranàƒÂ§ais n’aiment pas leur banque traditionnelle, ils ne se précipitent pas pour autant aupràƒÂ¨s des banques en ligne. Le marché actuel des banques en ligne représente moins de 3% du marché, et reste avant tout, un marché de seconde banque. Les clients des banques en ligne sont multi-bancarisés et conservent un compte dans une banque traditionnelle.


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