
Crédit immobilier en mai 2025 : des taux stables
Les taux des crédits immobiliers sont stables en mai 2025.
Sans surprise, comme les autres groupes bancaires, BPCE enregistre une forte progression du coût du risque (+77%). La moins-value liée à la cession de la Coface vient plomber davantage les comptes au premier trimestre 2020.
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Le produit net bancaire de 5,5 Md€ et résultat net de 181 M€, intégrant la moins-value de 83 M€ liée à la cession de Coface. Les revenus sont en baisse sensible de -3.8% à 5,6 milliards d’euros. Le secteur de l’assurance soutient l’activité du groupe.
Réseaux bancaires | Résultats T1 2020 avant impôt (M €) | Évolution |
---|---|---|
Banques Populaires | 441 |
-8.70% |
Caisses d’Epargne | 459 |
-12.10% |
Oney Banque | 13 |
NC |
Natixis | -205 |
NS |
Les encours de crédits ont augmenté de 8,4%2 sur un an à 559 milliards d’euros à fin mars 2020, dont 8,2% de hausse des crédits à l’habitat, 6,5%2 et 7,3% de hausse respectivement pour les crédits à la consommation et les crédits à l’équipement.
A fin mars 2020, les encours d’épargne hors l’encours d’épargne réglementée (livret A, LDDS) centralisé s’établissent à 482 milliards d’euros (+ 11,5%) et les dépôts à vue enregistrent une hausse de 15,6% sur un an.
Le produit net bancaire du pôle Banque de Proximité et Assurance enregistre une croissance de 1,9% au T1-20 soutenue par les activités Solutions et Expertises financières (+ 6,8%), Assurance (+ 4,5%) et Paiements (+ 9,1%). Les réseaux Banque Populaire et Caisse d’Epargne enregistrent une baisse de leurs revenus de 2,4%.
Mais le véritable indicateur clé dans la salve de chiffres, reste pour une banque, le coût du risque. Le coût du risque est le poids des créances, c’est-à-dire des prêts octroyés, non remboursés par les personnes ayant emprunté. Comme pour les autres banques, ce coût du risque explose avec la crise économique qui arrive : le coût du risque ressort à 302 millions d’euros, en hausse de 22,3% pour les seules activités de banque de proximité.
Le pôle Banque de Grande Clientèle (BGC) regroupe les activités de Global markets, Global finance, Investment banking et M&A de Natixis. Natixis accuse des pertes de -205 millions d’euros sur le premier trimestre 2020, dont une charge liée à la Coface de 120 millions d’euros. Au total, le produit net bancaire de la BGC ressort à 688 millions d’euros en baisse de 15,9% à change constant et 14,8% à change courant. Retraités des impacts CVA/DVA (-55 millions d’euros) et de l’impact dans les activités Actions des nombreuses annulations de dividendes (-130 millions d’euros), les revenus de la BGC ressortiraient en hausse de 7%. Au sein de Global markets, les revenus de FICT progressent de 46% à 367 millions d’euros, soutenus par les activités Taux & change. Les revenus de l’activité Equity sont négatifs à - 32 millions d’euros, impactés par la hausse des coûts de couverture et l’annulation des dividendes.
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